lundi 25 février 2013

Bouton de livrée Duc de la force

 Ce gros bouton retrouvée sur la cote cancalaise,à eté tres difficile à identifié,d abbord par son état puis par l'appartenance de l'armoirie.J'ai par pure hazard retrouvé  un bouton équivalent sur le net,présenté sous la premiere photo, se qui m à permis d'etre précis sur l'identification.C'est donc un bouton de livrée!!!
Réglementée sous l’Ancien Régime, condamnée par la Révolution, réhabilitée sous l’Empire, opulente avec la Restauration et le Second Empire, la livrée ne s’est parée de boutons aux armes des familles qu’à la fin du XVIIIe siècle, voire au début du XIXe siècle. Alors ce bouton de livrée armorié connaîtra son âge d’or.
A la fin du XIXe siècle, l’essor économique s’affirme. La bourgeoisie et le monde industriel tiennent un rôle de premier plan. Partout des châteaux se construisent. Les propriétaires fonciers font vivre bon nombre de personnes, employant gardes-chasses, bûcherons et charbonniers dans les bois, tâcherons, vachers et bergers dans les prés, jardiniers, piqueux et palefreniers dans les communs, cuisinières, femmes de chambre, maîtres d’hôtel …
Le nom parlait et était mis en avant. Des grilles à l’entrée du parc aux harnais des chevaux, des assiettes aux couverts, tout devient prétexte à la valorisation de ce nom, jusqu’aux boutons de livrée du personnel. 
Plusieurs dizaines de milliers de boutons ont alors été commandés d’autant plus qu’un mariage, un deuil ou un changement de titre était l’occasion d’en faire frapper un nouveau.

Par exemple sur ce bouton les licornes entourent deux boucliers contrairement aux armoiries d'origines (présentées ci dessous) ce qui prouve que ce bouton a été créer à l'occasion d'une union,mariage je pense.

Il s'agit ici de la livrée d'AUGUSTE LUC NOMPAR de CAUMONT,11ème duc de la FORCE.Né le 20 octobre 1803 et décédé a 79 ans le 17 novembre 1882 à Paris.


Auguste Luc Nompar de Caumont suivit la carrière militaire, et fut nommé, en 1822, sous-lieutenant au 1er régiment de lanciers . Il passa, en 1827, aux lanciers de la garde, et fit, après 1830, à l'état-major du maréchal Gérard, la campagne de Belgique (« Dix-Jours », 1832), et fut fait chevalier de la Légion d'honneur (1833).
Il sollicita sa mise en disponibilité, et fut candidat, sans succès, aux élections législatives dans la Gironde.

Après le Deux-Décembre, il fut appelé au Sénat par un décretdu 24 janvier 1852. Il fit partie, durant tout le règne deNapoléon III, de la majorité dévouée à l'Empire, et fut promu successivement officier, puis commandeur de la Légion d'honneur cette dernière promotion est du 30 août 1865.





dimanche 24 février 2013

Bouton à tête de cerf



Ce bouton de 23 mm de diamètre est en fait un bouton de veste des équipages de grande vénerie (chasse à courre) datant fin XIXème début XXème siècle. Trouvaille relativement commune dans un pays forestier comme le notre.

samedi 23 février 2013

robinet saxoleine

Voici le robinet d'un bidon de saxoleine!



La saxoleine qui est en fait de l huile de pétrole destiné à l 'éclairage est un produit distribué par la filiale FENAILLE ET DESPAUX à compter de 1865 ,on est là je le rappelle au tout début de l ère pétrolière car le premier puits de forage ne date que de 1857.Donc cette huile était conditionnée dans des bidons de plomb de 5 litres consignés dont voici le robinet.

vendredi 15 février 2013

Bouton à la grenade


 Le classique Bouton « à la grenade enflammer »
Inscriptions au dos : A M & Cie * Paris * de 1853 vers 1960.

Modèle unique qui équipa tous les régiments d'infanterie à partir de 1871 jusqu'en 1914. Il fut utilisé pendant toute la Première Guerre mondiale, à partir de 1915 ce bouton n’est plus en cuivre mais en aluminium (le cuivre et le bronze étant destiné à l’armement). Ce modèle de bouton fut adopté aussi par d'autres corps d'armée.
Les dragons (1871-1884).
Les cuirassiers (1871-1914).
Les sous-officiers des tribunaux militaires (1912-1914).
Les sous-officiers des prisons militaires (1912-1914).
La flamme à sept flammèches pour la légion étrangère.
Amitiés.
Pour la petite histoire ce bouton à été retrouvé dans le même champ que le bouton prussien précédemment présenté dans la rubrique" boutons" Il appartenait peut être a un des gardes,allez savoir!!






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mercredi 6 février 2013

Plaque d'imprimerie pour l'ouverture des rentes perpétuelles 1925

Morceau de plaque (je n'ai pas retrouvé les autres) pour l annonce de l'ouverture des rentes perpetuelles de 2012.

La matrice officielle confectionnée par l'état et estampillée des lettres de la république RF,était ensuite redistribuée vers les imprimeries locales afin d'y paraître dans les journaux. A savoir que le journal imprimé sur Fougères est "la chronique républicaine"fondée en 1837 et qui à l'époque se nommait " la chronique de Fougères",elle ne prit son nom actuel qu'en 1944.

découverte d'un spitfire de la royale air force

  Exceptionnelle trouvaille!! inouïe!! me direz vous et je vous l'accorde.
Sortir de terre à la pelle (à main) un spitfire de la royale air force quasi entier ( ne manquent que les roues et la verrière du cockpit) relève de l'exploit!
hé bien je l'ai fait!!!!!


ATTENTION VOILA LA BÊTE!!



YESSSSSSSS!!!!!!!!!!!

vendredi 1 février 2013

PETITE FUSAIOLE


C'EST QUOI?

-Les fusaioles sont des volants d'inertie de fuseaux de fileuses...La fileuse faisait tourner le fuseau entre ses doigts et pour ajouter à son efficacité, elle augmentait l'inertie de l'objet en y enfilant ces bagues de plomb...
-Difficilement datable car utilisées depuis très et pendant longtemps...
-Elles peuvent être en différentes matières en fonction des époques notamment (pierre, terre cuite, plomb, plomb/étain,…), ce qui importe c’est leur masse élevé ou plus précisément leur moment d’inertie.

      Celle ci,en plomb,probablement post moyen-age, a été retrouvée dans un champs.Il est vrai qu'en ces temps de pauvreté les réserves en fil de laine étaient primordiale pour la confection de vétements chauds et autres couvertures pour toute la famille.Aussi les femmes des leur moindre temps libre filaient et ce n'importe ou (à la maison ,aux champs,aux bois et même en marchant),ce qui explique que l'on retrouve ces petites bestioles un peut partout.



Le filage au fuseau est la plus ancienne méthode permettant de transformer les fibres textiles en un fil solide. Depuis l'aube des temps, l'homme utilise à la fois des matières végétales et animales : la tige de certaines plantes, par exemple comme le lin ou l'ortie. Les animaux fournissent la laine et les poils.

La préparation de ces matières textiles est très importante pour permettre un meilleur filage et garantir une plus grande solidité du fil fabriqué. Par exemple, les tiges de lin ou d'ortie, après avoir été arrachées, doivent être rouies et brisées pour en obtenir les fibres. Par contre, les poils et la laine des animaux doivent simplement être lavés.

On peut ensuite carder, peigner et enfin filer les diverses fibres.

Le principe est de transformer les fibres ou les mèches en fil, en faisant tourner le fuseau entre ses doigts. Pour filer, on a simplement besoin d'un fuseau. Le fuseau est constitué d'une tige de bois d'environ 25 cm de long. Une fusaïole de pierre (ou d'os), percée en son milieu, est enfilée à son extrémité. La fusaïole, par son poids, va aider à maintenir le fuseau vertical et augmente son mouvement d'inertie lors de la rotation. Toute la difficulté réside dans la réalisation d'un fil de grosseur uniforme.


10 FRANCS TURIN petite tete



Cette pièce en cupronickel,gravée par pierre TURIN à été fabriquée de 1947 à 49.
Celle ci de 1949 à été produite à 111 972 500 exemplaires.